Une étude albertaine récente fait le lien entre la densité des commerces de fast-food dans une ville et la prévalence de l'obésité. Il semble que plus il y'a un rapport élevé de fast-foods en proportion de la population et plus celle-ci est obèse.
Ce n'est pas vraiment surprenant si l'on considère que c'est pas parce que c'est des calories vides que ce n'est des calories.
J'ai beau être un apôtre invétéré de l'activité physique comme moyen de lutte au surplus de poids, il n'en reste pas moins que si on ne veut pas avoir à le dépenser, il ne faut pas d'abord le manger. Vous trouvez, vous, qu'un trio Big-Mac vaut vraiment, en terme de plaisir, plus de la moitié de vos besoins quotidien en alimentation? Moi je suis pas mal plus exigeant que ça.
1 commentaire:
C'est là tout le drame de notre société de consommation - consommer beaucoup et de faible qualité. Et la solution est de moins consommer, et de consommer le nécessaire de meilleure qualité. Mais bon, cela exige un changement de mentalité et du modèle économique. Et l'économie à ce qu'il faut pour orienter les mentalités.
Tant que cela sera économiquement rentable pour une multinationale de sacrifier massivement des êtres humains sur l'autel du profit financier, on ramera à contre-courant. Mais ramer à contre-courant, c'est de l'exercice n'est-ce pas? ;-)
- Mazzaroth
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